90%. C’est, selon une estimation récente d’Europol, la proportion des contenus publiés qui seront probablement générés par des intelligences artificielles à l’horizon 2026.
La bataille est engagée, mais quelle bataille ?
Catégorie : Questions
A l’heure où le conflit s’embrase à nouveau à nos frontières, il est intéressant de se poser à nouveau la question du mal.
Poursuivre la lecture de « A propos du mal »Esquisse d’un atelier philo
Autour de la liberté
La liberté, voilà bien un concept qui alimente les enjeux sanitaires éveillés par la crise liée à l’apparition du covid . Actuellement elle est au coeur du débat, mais y-a-t il débat. Certains le revendiquent mais à les entendre ils ont déjà tranché. On a gommé leur liberté.
Philosophiquement que peut-on en dire ?
Poursuivre la lecture de « La liberté, en guise d’atelier »Notre vécu collectif de la pandémie est évidemment un révélateur de l’évolution de nos sociétés face à la mort.
Poursuivre la lecture de « La société contemporaine face au retour de la mort ? »La réponse que l’on donne à cette question complexe est porteuse d’enjeux considérables.
En effet, les politiques de sécurité sociale et de santé peuvent être fortement influencées par une croyance des décideurs en la responsabilité de chacun face à sa santé.
Oui ?
Certaines personnes répondent affirmativement. Elles considèrent qu’on doit assumer sa responsabilité si on vit dans les excès, dans les prises de risques excessifs, voire si on n’adopte pas certains comportements préventifs.
Poursuivre la lecture de « Est-on responsable de sa santé? »Vous pensez que pour la plupart d’entre nous, la santé, c’est simplement ne pas être malade ?
Faites l’expérience lors de discussions avec vos amis. Vous découvrirez peut-être qu’ils ont des définitions bien différentes de la « bonne » santé.
Pour notre part, nous avons recueilli les quelques réactions suivantes, dans des contextes d’échanges variés.
« Moi, je veux que mon corps me permette de faire ce que je veux. Je n’aime pas être limité par un mal de tête ou de dos, ou une grippe… «
Poursuivre la lecture de « A chacun sa définition… »La question est intéressante. Car répondre par l’affirmative ne revient-il pas à assumer l’entière responsabilité de notre état de santé ?
Dans cette hypothèse, serions-nous en capacité de moduler notre état de santé comme nous le voulons ?
Cela n’est-il pas une illusion ?
Une réponse (pas si…) évidente
• A la question « La santé, pour vous, c’est quoi », souvent, la première réponse qui vient est : « ne pas être malade ».
Ainsi, la santé peut se définir en référence à l’absence de maladie. Ce qu’un médecin a jadis qualifié de « silence des organes ».
Il y a là sans doute une part de vérité: on ne dira pas spontanément « je suis en bonne santé » si on a mal quelque part, si on a un organe (comme le coeur) qui est défaillant.
• Cependant, des personnes atteintes d’une maladie chronique peuvent considérer qu’elles mènent une vie « bonne », tout-à-fait satisfaisante selon elles ! Elles se sentent au quotidien en bonne santé.
• La maladie elle-même peut être vue de manière positive: on parle par exemple des bénéfices secondaires de la maladie. Une personne malade peut par exemple bénéficier de l’attention et de la gentillesse des autres. Et puis, qui n’a jamais apprécié le changement de rythme de vie occasionné par une petite infection justifiant une incapacité de travail et le repos à domicile?
Une réponse utopique
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a défini la santé comme un « état complet de bien-être physique, psychique et social ».
Poursuivre la lecture de « La santé, c’est quoi ? »