Dans son livre « Le yoga, nouvel esprit du capitalisme », la Française Zineb Fahsi, elle-même prof de yoga, en décode le caractère politique. Le titre du livre fait référence au Nouvel esprit du capitalisme de Luc Boltanski et Eve Chiapello. Il émet de nombreuses critiques que nous avions déjà évoquées dans des articles précédents.
Poursuivre la lecture de « Namaste …et après ! »Dans ces temps agités, quand une cause d’angoisse en chasse une autre, on en vient à souhaiter la paix, la sécurité, l’ordre. Mais très vite on s’en veut aussi de se réfugier dans ce type de valeurs qualifiées de bourgeoise, sénile, voire médiocre.
Poursuivre la lecture de « Où l’ordre côtoie le médiocre »On nous en a parlé des prouesses et promesses de l’intelligence artificielle. En fait c’est plutôt les prouesses de la puissance de calcul des ordinateurs qu’il faudrait vanter. Et aussi s’inquiéter de la capacité démentielle des serveurs ,…et aussi de leur consommation électrique.
Poursuivre la lecture de « ChatGPT échec et mat »On l’a déjà dit à de multiples reprises . Mais les multiples informations délivrées depuis le début de la Covid-19 nous laissent à penser que les considérations qui suivent sont mises sous le tapis. On insiste beaucoup sur l’âge et les statuts de morbidité en laissant peut-être à penser que la santé reste un enjeu biologique.
Poursuivre la lecture de « Une piqûre de rappel »Notre surconsommation n’est que le corollaire du système productif. Une part des produits est liée aux activités qui permettent de les écouler. En fabriquer plus permet d’en écouler plus à moindre prix car plus vous en voudrez plus on fabriquera. Nous avons besoin de politiques pour mettre en place les conditions sociales et économiques (aménagement urbain, moyens de transport, logements isolés…). Impossible dans le cadre actuel qui fait référence continuelle au PIB et à la croissance. Le capitalisme est en contradiction avec l’autolimitation, la concurrence fait obstacle à l’indispensable coopération.
Poursuivre la lecture de « Le minimalisme en point de mire »On peut continuer à philosopher en ses temps incertains. La sobriété est au cœur de beaucoup de débats.
Il semble que le terme même amène beaucoup d’allergies comme s’il était porteur de contraintes inacceptables, après que nous ayons déjà dû subir bien des privations entre autres de libertés) en ces années de Covid-19.
Au XIXe siècle Dalberg disait déjà : le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument.
Plusieurs scientifiques, psychologues entre autres, se sont intéressés à la question en menant plusieurs expériences à ce sujet.
Poursuivre la lecture de « Au coeur du pouvoir »90%. C’est, selon une estimation récente d’Europol, la proportion des contenus publiés qui seront probablement générés par des intelligences artificielles à l’horizon 2026.
La bataille est engagée, mais quelle bataille ?
A l’heure où le conflit s’embrase à nouveau à nos frontières, il est intéressant de se poser à nouveau la question du mal.
Poursuivre la lecture de « A propos du mal »L’ascèse et son corollaire, la sobriété, ont accompagné une croyance ou une représentation cosmique et religieuse de l’ordre du monde. Une instance invitait à se conformer au bon usage du monde. La démesure était vue comme un vice, comment est-elle passée du côté de la vertu ?
Poursuivre la lecture de « La sobriété, une idée réactionnaire »